Harcèlement au travail et chômage : le MAC témoigne
Interventions médiatiques | 27 novembre
« C’est très, très difficile de justifier le départ volontaire, d’expliquer que ce départ-là était obligatoire. Souvent, elles se retrouvent pas reconnues au niveau de la CNESST [santé-sécurité au travail]. Disons qu’un homme qui travaille dans une usine et qui se coupe un doigt, c’est très vite reconnu. Mais le harcèlement psychologique, c’est très difficile à reconnaître. Et au niveau de l’assurance-emploi, il faut qu’elle prouve qu’elle a tout fait avant de quitter » leur emploi, a-t-il expliqué au cours d’une entrevue.
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